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 Eïleen Light Blackstar ▴ Beautiful disaster.

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Eïleen L. Blackstar

Eïleen L. Blackstar

Petite étoile perdue...


Date d'inscription : 25/05/2013
Messages : 88
Ft : Jennifer Lawrence / Emilie de Ravin
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Localisation :
  • En-Dessous

Âge : 24 ans
Particularité : Spiritem : Un panda roux nommé Crack.
Pouvoir : Double apparence.
EïleenE. De Ravin
LightJ. Lawrence

Eïleen Light Blackstar ▴ Beautiful disaster. Empty
MessageSujet: Eïleen Light Blackstar ▴ Beautiful disaster.   Eïleen Light Blackstar ▴ Beautiful disaster. EmptyLun 27 Mai - 16:40



Eïleen Light Blackstar
Ft. Jennifer Lawrence & Emilie de Ravin

Ma carte d'identité.

Maybe i'm just Beauty searching for her lost Beast.
▸ Nom : Blackstar
▸ Prénom : Eïleen, Light
▸ Âge : 24 ans
▸ Date de naissance : 21 Octobre 1989
▸ Lieu d'origine : L'En-Dessous
▸ Occupation : Chasseuse

▸ À noter :
▷ Deux visages, tantôt blonde, tantôt brune, difficile de s'y retrouver hein ? C'est bien le but !
▷ Le visage que vous verrez le plus est celui d'Eïleen (Emilie de Ravin), Light (Jennifer Lawrence) étant plus la partie solitaire et secrète.
▷ Peu importe son apparence, Eïleen a un tatouage dans l'intérieur du poignet gauche : un triangle vide.
▷ Psychologiquement, ce qui marque le plus c'est ses côtés impulsifs et rêveurs. Elle a tendance à avoir de longues absences et ne prend soin que des gens auxquels elle tient, délaissant souvent les autres, sans le faire exprès.

▸ Âme-sœur : Ah.. Graham... Mon sauveur, spectre de mes rêves.
▸ Spiritem :
Un Ailurus fulgens (Petit panda, Panda roux) nommé Crack


Mes capacités de super héros.

▸ Nom du pouvoir : Double apparence.
▸ Classification : Physique
▸ Descriptif : Eïleen a la capacité de changer d'apparence, c'est quand même pas bien compliqué non ?
▸ Points forts : C'est pratique quand elle a besoin d'avoir une identité secrète, ce qui n'arrive pas bien souvent, je vous l'accorde. Mais aussi si elle veut fuir d'une discussion discrètement, il suffit de dire "oops, je dois aller aux toilettes !", changer d'apparence, et partir. Tadam ! Ou encore pour jouer des tours aux gens, leur demander leur avis sur elle même, se faire passer pour quelqu'un d'autre...
▸ Faiblesses : Elle n'a que deux apparences possibles, et a une certaine tendance à se perdre dans celles ci. J'dirais pas qu'elle a un dédoublement de la personnalité, parce qu'elle a quand même bien les pieds sur terre, mais c'est un risque non négligeable. Et puis, une fois qu'on connait ses deux visages, elle peut plus rien vous cacher.


Ma biographie.



Bonjour le monde.
Nous sommes en 1987 lorsque je daigne pointer le bout de mon nez, littéralement, naissant avec déjà plusieurs semaines de retard qui inquiètent grandement les rares médecins qui suivent la grossesse de ma mère. Chez vous, en 1987, on passe la barre des 5 milliards d’habitants, autant que vous le sachiez, il ne s’agit que de la surface, et comme vous l’aurez sans doute deviné, je ne suis pas de la surface. Mère porteuse (au sens de porteuse de pouvoir, évidemment), père sans doute décédé, ou inconnu, ou… On s’en fiche à vrai dire, je me suis jamais vraiment posé la question. De toute façon, peu après l’accouchement, ma mère décède. Eh oui, si tôt née, si tôt orpheline, ou du moins terriblement seule. On mettra son décès sur le compte des manques de soins, je n’ai pas dû naître à une bonne époque, ou ma mère avait la santé fragile, je ne sais pas. C’est ironique quand on pense qu’elle était capable de soigner n’importe qui, sauf elle… Ma mère était une porteuse de type guérisseuse, eh oui. Comment je le sais ? Durant ma tendre enfance, j’ai vécu avec un ami à elle, Gabriel, il a accepté de me garder et de m’élever comme si j’étais sa propre fille. Il choisit de me prénommer comme l’avait souhaité ma mère sur son lit de mort – et de ma naissance, hm – Eïleen, on ne sait pas trop pourquoi, elle délirait sûrement un peu trop, mais c’est tout ce qui me reste d’elle et je chéris ce prénom. Finalement, ça aurait pu être pire, on s’occupait bien de moi et, jamais au grand jamais je n’ai eu à me plaindre.


Descente… Aux Enfers ?
J’avais cinq ans lorsque j’ai vécu ma première descente. Une descente, comment expliquer ça ? Une descente c’est des humains de la surface qui sont au courant de l’existence des porteurs mais qui viennent en tuer un bon paquet histoire de maintenir le climat de peur constant, pour qu’il n’y ait pas de rébellion. Et aux yeux d’une enfant, imaginez quelques instants le traumatisme de voir son tuteur disparaître pour combattre et… Finalement ne jamais revenir. Je suis restée des jours dans l’appartement, toute seule, à me nourrir dans les placards et à attendre, en me disant qu’il reviendrait, forcément. Mais il n’est jamais reparut… Première expérience du deuil. Le pire, c’est que je m’en souviens très bien et à chaque bruit, je m’attendais à ce que Gaby ouvre la porte et débarque avec des dizaines de viennoiseries, couverts d’égratignures mais en vie. Finalement, dans ma tête y a toujours cette idée qu’un jour je le retrouverai, qu’il avait juste eu un empêchement, mais que jamais il m’aurait laissée.


Gamine sauvage.
J’avoue qu’au bout d’un moment, ce qui m’a fait sortir, c’est la faim. Les placards étaient vides et j’étais bien incapable de me faire à manger toute seule, j’aurais sûrement mit le feu à l’appartement délabré. Je ne devais pas être très futée en ce temps là parce qu’après avoir volé quelques fruits dans un marché – oui j’étais déjà une garce – je me suis retrouvée à la bibliothèque. Je ne savais même pas lire à l’époque… Mais Gabriel avait ces épais bouquins desquels il faisait émerger des histoires hors du commun, des princesses, des dragons, des chevaliers, et j’en passe ! Et quand je dis qu’il les faisait émerger du bouquin, c’est au sens littéral. Il était illusionniste. Je me souviens que les murs de la bibliothèque étaient jaunâtres, d’une couleur tout bonnement gerbante, fallait l’avouer. J’avais attrapé un bouquin au pif et je m’étais réfugiée entre les rayons, tout au fond, là où personne ne viendrait me chercher. Des heures après mon début de tentative de décryptage des symboles sous mes yeux et mes doigts, j’ai entendu une voix, rien de fantomatique ou de maléfique hein, juste une voix, qui me surplombait, une voix très douce, j’ai même cru que c’était Maman…


Sauvetage en pleine mer de larmes.
La dame qui me regardait était très jolie, le genre de beauté maternelle un peu magique et immédiatement rassurante. Cependant j’ai pleuré quand même lorsqu’elle m’a demandé si j’étais toute seule. Tout ce dont je me souviens, encore aujourd’hui, c’est de l’exceptionnelle profondeur de son regard, dans ses yeux on lisait tout le bien qu’elle avait pu faire et toutes les fois où elle s’était battue pour ceux auxquels elle tenait. Le genre de personne dont on est bien incapable de douter. Elle m’a tendu sa main et je l’ai prise. Vous savez, beaucoup de gens croient dur comme fer qu’une décision peut changer tout le court de notre vie, je crois que je fais partie de ces gens depuis ce jour. Je crois qu’on était en octobre quand elle m’a trouvée et ramenée chez elle, c’était une maison qui me semblait immense, mais j’avais vécu dans un tout petit appartement, tout était si propre, si beau, que les larmes avaient totalement disparues, autant de mes joues que de mon esprit. Et, il fallait l’avouer, Gabriel aussi. Mais j’étais une gamine et j’étais relativement lunatique, alors on me pardonne. Elle m’a débarbouillée le visage, puis elle m’a fait à manger. Je crois que c’était un genre de purée maison ou... Quelque chose du genre. Oui, j’ai aussi tendance à me souvenir des choses les plus inutiles.


Et il a passé la porte.
Je pensais que la dame vivait toute seule. Le genre de mère au foyer mais sans enfants, qui se consacre à l’éducation, la passion des bouquins ou peu importe quoi d’autre. Une personne qui aiderait les autres. Et j’avais qu’à moitié tort finalement. Lorsque la grande pendule a sonné les seize heures tapantes, elle m’a dit que son fils reviendrait bientôt de sa balade. Effectivement, quelques minutes plus tard, il poussait la porte de l’entrée pour atterrir dans le salon où j’étais assise sur un fauteuil. Il a dit « Maman je suis rentré. » d’un ton machinal, il avait deux ans de plus que moi, sept ans. C’est vrai qu’à sept ans, normalement, on ne sort pas comme ça tout seul dans la rue pour se balader. Mais il était tellement précoce pour son âge. Un gamin intelligent. Il savait lire bien sûr, écrire, compter, chanter, jouer quelques instruments, un prodige. Et à côté j’étais la gamine de la bibliothèque. Il m’a regardé, a froncé les sourcils et puis il a souri. « C’est quoi ton prénom ? » Eïleen, j’ai répondu. Il a hoché la tête et il a approché, jetant un regard inquisiteur à sa mère qui lui a alors expliqué ce qu’elle avait saisi de la situation et qui n’était pas vraiment loin de la réalité. J’étais perdue, affamée et seule.



L'évolution d'un être.
Prenez moi pour un monstre, mais l'abandon de Gabriel a été la choses qui m'a poussée dans une vie de joie, d'amour, de complicité, de jeu, d'apprentissage, et de tellement d'autres choses. J'étais une gamine heureuse, épanouie. J'ai jamais été aussi heureuse qu'auprès de Castiel et sa mère. Je passais mon temps à courir partout, à cueillir des fleurs et de temps en temps, à apprendre, lorsqu'on arrivait à me faire tenir en place plus de cinq minutes. Je n'ai pas appris à lire avant mes dix ans, pour vous donner une idée. A treize ans je savais à peu près compter, mais ce qui me passionnait, c'était la nature. Courir dans les champs, essayer désespéramment à attraper des poissons à mains nues, ce genre de choses. J'avais quinze ans lorsqu'on m'a offert un arc. Alors ma vie a changée. Je suis devenue différente. Parfois plus solitaire. Sans toutes fois m'éloigner de Castiel qui rythmait mon existence avec ses recommandations sans fin. J'étais douée pour viser, j'ai appris seule et je me suis perfectionnée. Je chassais uniquement des créatures que nous pouvions manger ou échanger sur les marchés. J'allais donner à ceux qui en avait besoin aussi. Et c'est là que j'ai découvert mon pouvoir.



Attention les yeux.
J'étais dans la forêt avec Castiel, à discuter tout en observant la faune et la flore magnifique et propre à l'En-Dessous. J'avais mon arc métallique, mais mat (pas de reflets, sinon on effraie les proies), et j'étais assise contre un rocher. Il m'a dit quelque chose dont je ne me souviens plus vraiment, et j'ai hoché la tête sans écouter. J'étais pensive, j'avais la migraine depuis déjà quelques jours et ça me fatiguait. Je me suis levée et j'ai fais quelques pas pour me rapprocher de l'eau, pour boire. Ici elle est pure et fraîche, alors pourquoi s'en priver ? Bref, je me suis penchée et, j'ai bu un peu d'eau. Puis j'ai grogné lorsque ma migraine s'est intensifié. Alors il s'est approché, il a posé ma main sur mon épaule et l'a tout aussitôt retirée. Mon reflet changeait. mes cheveux courts poussaient, la forme de mes yeux se modifiait et, bordel j'avais tellement mal. Mon cœur battait la chamade, lorsque ça s'est calmé, je me suis relevée et je suis ai fait face. Il a sourit. Un sourire tellement rassurant, tellement... Je crois que c'est à ce moment précis que mes sentiments à l'égard du jeune homme sont devenus un brouillon pas possible. Depuis toujours il était là pour moi, depuis toujours il me soutenait alors qu'on me prenait pour une humaine. Et là je lui prouvais qu'il avait eu raison de croire en moi...


Spiri-truc et traumatisme.
Vous savez, les Spiritems, les machins avec des animaux qui se faisait limite lapider par la confrérie ? Ça faisait peur quand même. Non mais, c'était flippant de se dire qu'on risquait de le devenir à un moment où à un autre et qu'on perdrait tout. Bien sûr, ils disaient que ça arrivait qu'à ceux qui le méritait et qu'il ne fallait pas avoir peur mais. Moi j'avais peur. On dit que la peur c'est un choix, franchement, y a pas une plus grosse connerie que celle ci... C'était il n'y a pas si longtemps. Il y a moi d'un ans. J'avais 21 ans. Et il y a eut une énième descente. Vous voyez ? Les méchants qui débarquent, qui choppent qui ils peuvent et qui les tuent de façons de plus en plus grotesques. Ce jour-là, j'étais pas avec Castiel, je jouais avec Ann, une petite fille d'environ dix ans qui traînait souvent dans notre rue. L'image même de la petite Alice aux longs cheveux blonds d'or et à la petite robe bleue qui va courir après le lapin blanc. J'ai pas eu le temps de la retenir, elle est allée un peu trop loin, et on m'a attrapée pour que je recule et que je me cache, j'ai essayé de me débattre, mais l'homme qui me tenait était fort. Il a plaqué sa main contre ma bouche en restant derrière des buissons, d'ici on voyait bien la petite entourée d'un groupe d'adultes en uniforme. L'un d'eux à attrapé ses bras et l'autre la poignardée. Bien dans la poitrine. Elle n'a même pas eut le temps de crier. Mais j'ai eu l'impression que j'allais mourir à sa place. Comment des êtres vivants dotés d'un cœur pouvaient-ils s'acharner sur une enfant ? Lorsque l'homme m'a relâchée, j'ai voulu courir pour la rejoindre, ils étaient partis. Mais j'étais incapable de bouger. Alors je me suis écroulée. Finalement, lorsque je me suis réveillée, j'étais dans la cabane dans la forêt qu'on s'était construit, Castiel et moi. Il était à mon chevet, légèrement inquiet. Je ne me souvenais pas de tout. Mais il m'a expliqué qu'il m'avait trouvé, et qu'il avait pensé plus judicieux de m'emmener à l'écart. « Pourquoi ? » j'ai demandé. Il a juste penché la tête, son regard insistant dans un coin de la pièce où un espèce de truc de lumière gigotait dans tous les sens. Mon Spiritem... Inévitablement. Il a baissé les yeux, il était inquiet. Je lui ai dis que ça irait. Et bien sûr, j'y croyais pas moi-même.


Et mon vrai moi.


▸ Prénom/Pseudo : Léa / Hope.
▸ Âge : 19 ans.
▸ Sexe : Féminin la plupart du temps.
▸ Pays : France.
▸ Séries préférés : Trop... Once Upon a Time, Supernatural, Arrow, Revolution, 2 Broke Girls, The Walking Dead, American Horror Story et tellement d'autres.
▸ Films préférés : Beuh... ça dépend des jours, j'y réfléchirai plus tard.
▸ Bouquins préférés : La nuit des temps, la couleur de l'âme des anges, la saga des Harry Potter, BZRK, Melancholia, Rooms, les Chronicles de Narnia, et d'autres que j'oublie sûrement là.
▸ Célébrités favorites : Euh.. Cette fois y en a vraiment trop et j'ai pas de célébrités fétiches.
▸ L'endroit où avez vous découvert le forum : Dans ma tête ?
▸ Ce qui vous a poussé à vous y inscrire : Mh.. De l'avoir créé.
▸ Un petit mot pour terminer : TA-GA-DAAAA.

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